Song Xuejian

Statut » Pris… et pas à peu près!
Orientation » Bi malgré ses énormes tendances hétéro
What's love » La chose la plus importante qui soit. La personne qu’il aime est d’ailleurs le centre de sa vie. Sa famille passe après cette personne, et même ses amis…
Ideal type » Sérieusement, il ne s’est jamais posé la question, mais si on lui demandait aujourd’hui, il vous répondrait que son petit ami est la personne la plus parfaite pour lui et qu’il ne peut pas exister quelqu’un de mieux
What about old experiences? » Il y a eu cette fille, deux ans plus vieille, sur qui il a eu le béguin lorsqu’il avait 15 ans, mais avant même qu’il ait trouvé comment lui dire, il a découvert qu’elle était déjà en couple… et cette autre fille, lorsqu’il avait 18 ans, avec qui le couple fut si désastreux qu’il aimerait bien que cela ne soit jamais arrivé.

Character » Timide comme ça, il n’y en a pas deux. « Il n’est pas capable de regarder quelqu’un dans les yeux, ça l’intimide », racontent les élèves qui sont dans ses cours. Il vit dans sa bulle, sans toutefois que ce soit un monde imaginaire. C’est en fait tout le contraire, il est très réaliste et très terre à terre. Simplement… il est réservé, quoi. Il faut dire que son gigantesque accent chinois est loin…très loin même… de l’aider dans sa timidité! Tout de même, il faut le comprendre, cela ne fait pas longtemps qu’il habite la Corée. Il a généralement d’excellentes idées, mais il les dira pas, les gardant pour lui tout simplement parce qu’il est persuadé que d’autres y auront pensé aussi. Il a cette petite tendance à écouter toutes les règles imposées, vous n’entendrez jamais dire que ce jeune homme s’est fait remettre à l’ordre par un enseignant ou une autre personne d’autorité. Il n’a pas tellement le sens du leadership sans toutefois suivre aveuglément n’importe quelle phrase dite par n’importe qui. Sur son temps de pause entre deux cours? Calmement en train de pianoter sur le clavier de son laptop, confortablement placé près d’une fenêtre. Attention ici! Ceci n’est pas un geek ou un nerd, mais un élève acharné… il n’est pas en train de hacker le serveur de Square-Enix pour avoir des scoops sur le prochain opus de la série Final Fantasy… il commence ses devoirs! « L’école, c’est l’école, donc un endroit de sérieux, où tu joues tout ton avenir… Les conneries, c’est une fois la cloche sonnée et les devoirs terminés » telle est sa façon de penser.

Après l’école par contre...

Avouez que vous avez pensé qu’il est un total dévergondé juste avec cette phrase! Et bien, pardon de vous décevoir… Il est juste moins timide! Non, vous ne le verrez pas en train de danser tard dans une discothèque ou à courir dans une arcade jusqu’à la fermeture… Il préfère rester chez lui, emmitouflé dans une énorme couverture avec la personne qui fait battre son cœur… et passer la soirée à se ‘battre’ pour le contrôle de la télécommande ou encore pour décider en quoi consiste le souper… et surtout, qui le fait. Vous aurez compris, il dispose d’une bonne humeur qui s’affiche ouvertement une fois à la maison, sans faire de lui quelqu’un d’excessif ou encore, imprévisible… oh non, il est toujours aussi calme! Il s’avère être plus démonstratif et surtout, comme il peut parler mandarin… il parle plus... beaucoup plus… Il aime bien raconter sa journée et surtout, demander à son amour de lui raconter la sienne. Il a cette manière à trouver le bonheur dans les aspects les plus simples de la vie. Pourquoi s’encombrer de tout le superflu quand la règle essentielle est d’aimer et être aimé?!

Minute,est-ce possible qu’il ait des amis?! Et ouais! Il existe de ces gens qui ont la patience de l’aider à se débarrasser de sa gêne et ces gens-là trouvent en lui un ami enthousiaste, toujours prêt à aider, à donner un conseil de son cru et toujours très pensé… pour ne pas dire analysé et vérifié, même! Pour les gens qu’il porte dans son cœur, qu’il chérit, il est toujours disponible et il serait prêt à piler sur ses convictions pour eux… Mais pas jusqu’à se laisser faire du mal. Sa santé physique autant que mentale passe avant toute chose, il a un instinct de préservation très grand… pour ne pas dire un instinct de survie, car il arrive que même lui, pourtant si calme, si réfléchi, puisse agir sur un coup de tête pour se protéger.

Histoire » Selon les dires, il serait né dans un berceau fait d’or et aux couvertures de la plus fine soie qui existe…selon les dires. Certes sa famille était un peu plus aisée que la majorité des chinois, mais ils ne roulaient pas sur l’or comme de riches entrepreneurs ou encore des stars qui produisent 2 albums par année! Leurs finances étaient bien calculées et autant son père que sa mère avaient des emplois respectables. Ils s’étaient d’ailleurs rencontrés sur leur lieu de travail et tout le monde manquait de mots pour décrire combien ils étaient « faits l’un pour l’autre ». C’était bien connu… S’ils le pouvaient, Daoming et Mengmei auraient eu plusieurs enfants et depuis un bon bout de temps mais… malgré les essais fréquents, malgré tous les trucs ancestraux qui aident supposément à concevoir, rien à faire, Mengmei ne tombait pas enceinte. Au travail, les dames commençaient à parler d’infertilité ou encore d’incompatibilité entre les deux tourtereaux… et alors que la chicane commençait à prendre, que leur mariage commençait à en souffrir, et bien… ce fut à ce moment qu’une grossesse décida de commencer. On appelle ça se faire attendre!

On peut aussi appeler ça « arriver en catastrophe ». En effet, c’est durant un long et pénible accouchement parsemé de complications qu’arriva en ce monde le minuscule Song Xuejian… et qu’en sortit sa mère. En effet, si elle avait réussi à donner naissance à son fils, Mengmei avait succombé à une importante hémorragie que les médecins n’avaient malheureusement pas pu arrêter…

Pour Daoming, ce fut la fin du monde : il partait sa chère et tendre épouse parce qu’ils avaient insisté pour avoir un bébé. De plus, alors que lui, il aurait aimé avoir une fille, plus facile à élever, plus docile, le voilà pris avec un garçon. En plus, sa conscience ne le laissa même pas choisir le nom : Mengmei avait toujours dit qu’avoir un garçon, il se nommerait Xuejian… Quel homme sensé accepte de nommer son fils « Orchidée des Neiges », huh?! Mais pour la mémoire de Mengmei…

Pas évident d’élever un enfant en étant un père seul, en accumulant les nounous qui font de leur mieux pour combler le vide que l’absence de mère causait pour le bambin si calme, si obéissant… Mais elle ne restaient jamais longtemps, toutes persuadées que l’absence d’un surplus d’énergie chez le petit était causé par leur incapacité à lui fournir suffisamment d’amour… mais il était juste très sage. Jamais son père n’avait eu à lui faire la morale bien longtemps ou encore à l’enfermer en punition dans sa chambre… Xuejian était restait constamment le bambin avec un grand sourire qui essaie d’apprendre à écrire avant son temps. Il n’allait même pas jouer dehors avec les autres enfants du voisinage! Certains mentionnèrent le fait qu’il avait sans doute reçu de mauvaises ondes du à la panique causée par l’état de sa mère à sa naissance et qu’il en avait inconsciemment subi un traumatisme… mais il n’aurait pas plutôt été turbulent s’il avait été traumatisé?

Pour Daoming, l’histoire pouvait se régler d’une seule et unique façon : fournir une mère à Xuejian. En effet, si c’était le fait qu’il n’avait pas d’amour maternel stable qui rendait le petit si renfermé sur lui-même, autant dans sa bulle d’idées? Il fallait bien essayer… et la solution s’avéra être la nouvelle nounou du petit : il avait maintenant 7 ans, et au bout de 7 ans avait déjà commencé à prendre pour acquis qu’une nounou, ça ne dure jamais bien longtemps… À l’école on avait commencé à rire de lui lorsqu’il disait qu’il n’avait pas de maman… quand on lui demandait où elle était, au lieu de répondre la réponse évidente du « elle est au ciel », il disait qu’il en savait strictement rien, même qu’il ne savait pas si elle existait, cette fameuse mère qu’il était sensé avoir. Vous aurez deviné, les photos de Mengmei étaient soigneusement cachées dans des boîtes et Xuejian ne les avait jamais vu.

Bref, cette nouvelle nounou… Xuejian ne l’aimait pas, mais pas du tout. Elle s’imposait dans sa bulle… Elle essayait vraiment de l’amadouer, de faire en sorte qu’il l’apprécie… mais c’était l’effet contraire qui se passait… Il la trouvait envahissante et dérangeante. Elle voulait toujours savoir ce qu’il faisait, voulait toujours participer alors qu’il faisait quelque chose qui se fait en normale seul, tel que lire, par exemple. Lui qui était habitué à être très autonome, se retrouvait avec une nounou qui l’enveloppait dans la ouate et l’empêchait de faire la moindre chose par lui-même… Pour la première fois, il n’aimait pas une nounou.

L’opposé se produisait avec le père, par contre. Daoming adorait combien la nouvelle nounou semblait s’impliquer dans l’éducation de Xuejian, combien elle faisait de son mieux pour qu’il s’ouvre à eux… personne n’avait compris que le garçon n’était pas renfermé sur lui-même de façon négative, mais qu’il était plutôt autonome et autodidacte, à préférer apprendre et découvrir lui-même. Et pour tout dire, il aimait bien à quel point elle lui tournait autour… Quand même, cela faisait sept ans qu’il avait veuf, son deuil de Mengmei était fait depuis longtemps, sans compter qu’il voulait vraiment que Xuejian ait une figure maternelle avant que cela soit trop tard et que les supposés dommages psychologiques soient définitifs…

Vous voyez déjà cela venir, n’est ce pas? Daoming se remaria avec la fameuse nounou, avec cette Yueling que Xuejian, qui avait passé son anniversaire de 8 ans, n’aimait pas du tout. Pauvre, pauvre Xuejian. Il avait désormais retrouvé sa tranquillité et sa bulle mais désormais, son père n’en avait plus rien à faire de lui… Comme si, puisque Xuejian était le résultat du premier mariage, maintenant que son père en était au second, l’enfant était devenu une relique… simplement que, contrairement aux photos de sa mère, il ne pouvait pas être mis dans une boîte dans le fond du grenier.

À la place, il fut envoyé chez ses grands-parents maternels, qu’il n’avait jamais eu la chance de voir auparavant, puisqu’ils habitaient à l’autre bout de la Chine. Pour eux, Xuejian s’avérait être un petit cadeau tombé du ciel, une magnifique compensation pour leur fille décédée. À partir de ce moment, Xuejian eut la chance de savoir qui était sa mère, son nom et surtout, à quoi elle ressemblait. C’était comme si on lui racontait une histoire dont il était le seul à avoir le privilège de l’entendre, comme s’il devenait le gardien d’un important secret… Pour un enfant, c’était comme si on venait de lui offrir le plus grand cadeau du monde.

Sa mère devint très rapidement un modèle pour lui : elle avait fait de grandes études, s’était trouvé un bon emploi, avait laissé une bonne impression derrière elle et surtout, elle avait choisi son nom, à lui. Le chinois s’était toujours demandé pourquoi il s’appelait Xuejian si son père avait ce nom en sainte horreur… et bien maintenant il le savait… Bien vite, « Maman » devint un mot plus fréquent dans son vocabulaire et, comme avec une nouvelle inspiration, le petit, qui avant avait des résultats à peine acceptables à l’école, est rapidement devenu premier de classe. Le fils de sa mère, quoi.

Il aimait bien le nouvel endroit où il habitait, loin de Shanghai et de son père… sans parler de la nounou transformée en belle-mère… et alors qu’il vieillissait trop vite au goût de ses grands-parents, il atteint on 15e anniversaire. Le milieu de l’adolescence et la puberté… oh génial… les réveils inconfortables, le poil, les boutons… et les premières « vraies » amours.

Xuejian ne se souvient même pas de son nom… c’était une fille deux ans plus vieille, qui allait à son école. Elle aidait les élèves de l’année de Xuejian et comme celui-ci était premier de classe, elle lui demandait souvent de participer à l’aide aux devoirs avec elle. Elle était si belle… et il était bien persuadé qu’elle ne voyait que lui, que ce n’était pas deux ans de différence qui allait l’empêcher de l’aimer, non? Et bien… la réponse était qu’elle avait un petit ami et que Xuejian l’appris de la manière forte : en les voyant s’embrasser. Son petit cœur d’adolescent ne l’avait pas supporté et il s’était encore plus investi dans ses études, redevenant le garçon introverti qu’il avait été – à l’époque, il avait « de la placote », selon ses grands-parents… maintenant, ce n’était plus le cas. Persuadés qu’ils étaient en faute, ses grands-parents décidèrent de la renvoyer à Shanghai, où Yueling était plus que contente de le revoir. Ce n’était pas les sept années passées loin d’elle qui allaient changer l’opinion de Xuejian à son égard… il avait maintenant 15 ans, bientôt 16, et elle le traitait comme s’il en avait encore 7… génial.

Une chance qu’il avait ses études, cela lui donnait une raison de fuir le petit nid d’amour insoutenable de son père et cette plaie qui lui servait de belle-mère. Il avait maintenant placé une photo de sa mère dans sa chambre, insultant son père et humiliant Yueling, mais il était hors de question qu’il s’éloigne encore trop longtemps de la mémoire de celle qui l’avait mis au monde… si cela pouvait les éloigner de sa chambre, les deux indésirables, c’était encore tant mieux.

Le reste de ses années à Shanghai furent relativement tranquille… une petite amie avec qui ça n’avait franchement pas fonctionné, son père et Yueling qui continuaient de l’emmerder… et il finit par avoir 20 ans. C’est à ce moment que sa vie bascula.

Il commençait ses vacances lorsque, à table, son père se mit à ronchonner contre les Coréens qui s’étaient installés dans la maison d’à côté pour l’été. Son père n’avait jamais été très respectueux des minorités ethniques et autres nationalités, donc Xuejian n’était pas du tout surpris des propos qu’il entendait. Cela ne l’a aucunement empêché de lui-même essayer de savoir qui étaient ces fameux Coréens, de quel genre de personne ils avaient l’air.

Et Song Xuejian rencontra Park Min Soo…

Ça aurait pu être une rencontre bien banale si cela n’était pas du fait que nous avions affaire à l’un des tombeurs les plus acharnés de Corée du Sud… et que le tombeur en question s’avère être autant aux messieurs qu’aux dames… et que Xuejian est EXACTEMENT son genre de gars.

Si on lui avait demandé, Xuejian vous aurait dit qu’il est totalement hétérosexuel, qu’il n’a jamais regardé un homme d’un œil intéressé une seule fois dans sa vie… et bien Min Soo venait de changer les données à 180 degrés. Le Coréen refusait de lâcher prise, utilisant toutes les techniques de séduction possibles… et pour Xuejian il fut impossible de s’empêcher d’être finalement attiré par ce prédateur qui apparemment, avait fait de lui sa proie. Leur premier baiser fut dans la chambre de Min Soo alors qu’ils écoutaient une émission scientifique que Min Soo voulait absolument écouter avec Xuejian pour être sûr de tout suivre.. quoi? Il n’était pas une brute en mandarin, qu’il avait clamé. En tout cas si le Coréen n’était pas bon pour apprendre les langues, un certain Chinois peut confirmer qu’il est bon avec SA langue… sans commentaires.

Cela ne faisait pas du tout l’affaire de Daoming, mais son fils était toujours chez les Park dès le début de l’été. Alors qu’il était bien décidé à faire un party d’anniversaire pour les 21 ans de Xuejian, question de le faire « revenir à la maison » (C’était une idée de Yueling), le futur fêté leur annonça qu’il avait un planning de fait pour le jour de son anniversaire : il allait faire du « mini camping » dans la cour des Park. En d’autres mots, la chose s’avérait être « Min Soo + Xuejian + une tente et son équipement = une nuit chaude et passionnée »… Enfin, ce n’était pas ce que Xuejian avait dans l’esprit au départ… il pensait plutôt à avoir un peu de temps vraiment tranquille avec son nouvel amoureux (parce si le baiser n’avait pas été assez clair sur la situation entre eux deux, rien d’autre n’aurait pu l’être). Bon, avec Min Soo, il aurait fallu s’attendre à ce que ça arrive… Après avoir fait l’amour, Min Soo demanda une question aussi grosse qu’une demande en mariage à Xuejian :

« Quand je vais retourner en Corée, tu vas venir avec moi n’est ce pas? »

Comment dire non? La simple idée que Min Soo devrait un jour partir lui était inconcevable, et il n’était pas heureux dans le cocon d’amour de son père et Yueling. Sincèrement, que Min Soo souhaite qu’ils soient ensemble pour plus qu’une amourette de vacances… ça lui réchauffait le cœur à un point incroyable… et Xuejian avait très très vite oublié sa supposée hétérosexualité. C’était avec cette personne qu’il voulait être, peu importait qu’il soit du même sexe que lui.

Un mois à garder ce petit secret pour eux deux, à apprendre le coréen à Xuejian, à préparer l’admission de ce dernier à l’université où Min Soo étudiait. Son père aurait voulu le voir en finances… Xuejian choisit plutôt l’histoire est asiatique, sa passion depuis déjà cinq bonnes années. Un mois où Min Soo appella ses amis et leur annonça qu’il n’habiterait plus avec eux pour la prochaine session et même plus. Pourquoi? Ils le sauraient en temps et lieu…

L’annoncer à Daoming fut le pire. L’homme tempêta, hurla à Xuejian que son fils n’avait aucune considération de tout ce qu’il avait fait pour lui… Il alla jusqu’à accuser Xuejian d’être responsable de la mort de sa mère. Un enfant si calme, si obéissant… la seconde qu’il fait quelque chose d’incorrect, on lui fait de telles accusations… hors de question qu’il reste dans une famille pareille. Il ramassa ses valises et ses boîtes et, aidé de Min Soo, déménagea l’ensemble de ses possessions chez les Park. Le lendemain, il était en Corée, loin de l’environnement étouffant de la maison familiale.

Maintenant, le voilà, installé en appartement avec son amant, à tranquillement d’habituer à son nouveau rythme de vie… mais le fait de ne pas être dans son milieu habituel l’a rendu cent fois plus timide qu’auparavant… Ce n’est pas tous les jours qu’un chinois vient étudier à Séoul!


Relations »
Park Min Soo : (Future character) Tout le monde connaît le Coréen comme étant un tombeur de première, celui qui fait craquer quelqu’un juste en passant devant lui et Xuejian s’est fait un nom en devenant son colocataire en entrant à l’université… mais comment expliquer que depuis qu’il a son nouveau colocataire… Min Soo ne couche plus avec personne, comme il faisait avant? Tout simplement parce que Xuejian et lui forment un couple des plus dévoués et des plus passionnés… malgré leur incompatibilité de groupes sanguins (et de signes astrologiques). Qui a dit que ça ne pouvait pas fonctionner lorsqu’un A et un B sont ensemble, qu’on lui montre que ce n’est pas vrai? Malheureusement, cette personne ne pourra pas voir qu’elle a tort… car Xuejian ne veut pas afficher ouvertement sa relation avec Min Soo. Pourquoi? Pure et simple timidité.

Tanaka Kimi : Xuejian lui donne des cours privés de mandarin depuis très peu de temps. Il l’apprécie beaucoup, malgré qu’elle lui semble parfois très bizarre sur certains points. D’ailleurs, il tient Min Soo à l’écart lorsque Kimi vient suivre ses cours à leur appartement car il sait très bien ce que la jeune japonaise pourrait faire au sublime futur médecin s’il devait avoir le malheur de décider de mal s’habiller le temps d’étudier… Personnellement, Min Soo qui se déshabille, ça ne le dérange pas… C’est plus que ce soit Kimi qui s’en charge qui le dérange… elle n’est qu’au lycée!